Soupçonnée de planifier un attentat terroriste à cause de "recherches suspectes" sur Google, une famille de New-Yorkais a vu la police débarquer chez elle. Aux Etats-Unis, la psychose terroriste peut parfois prendre des tours inattendus. Ce mercredi 31 juillet, un couple de New-Yorkais a été victime d’une perquisition musclée de la police des comtés de Suffolk et Nassau. Leur crime ? Avoir successivement recherché les mots clés "sac à dos" et "cocotte-minute" sur Google…
Six hommes en civil perquisitionnent le domicile familial A l’origine de cet incroyable quiproquo, l’ancien employeur du père de famille, qui a alerté les autorités après avoir constaté que son ex-salarié avait lu un grand nombre d’articles relatifs à l’attentat à la bombe de Boston. Outre ces recherches, l’homme a également été "trahi" par des mots clés tapés sur Google depuis son domicile et son lieu de travail, "cocotte-minute" et "sac à dos". Des objets "suspects" qui ont été utilisés par les frères Tsarnaev lors des événements survenus à Boston, en mai dernier. Dans un témoignage posté sur Medium.com, et relayé par le site du gratuit Metro, Michele Catalano -l’épouse du suspect- explique qu’il n’en a pas fallu plus pour que six agents habillés en civil ne débarquent au domicile familial, quelques semaines plus tard. Ces derniers ont mis la maison sens dessus dessous, allant même jusqu’à fouiller dans les moindres recoins du jardin, du garage et de la bibliothèque. Des recherches "par curiosité" Bredouilles, ils ont ensuite interrogé le père de famille, qui a justifié de ses recherches en affirmant qu’il était simplement "curieux" de savoir comment une telle bombe pouvait être fabriquée. Finalement convaincus qu’ils n’avaient pas à faire à un dangereux terroriste, les policiers ont pris le temps d’expliquer à l’homme qu’ils effectuaient de telles visites une centaine de fois par semaine, et que ces dernières se soldaient dans 99 % des cas par une fausse alerte. Sur son compte Twitter, Michele Catalano livre sa morale de l’histoire : "Un conseil : ne faites pas une recherche sur les cocotte-minutes juste après que votre époux ait fait une recherche sur des sacs à dos si vous ne voulez pas vous retrouver avec le FBI à votre porte".
Six hommes en civil perquisitionnent le domicile familial A l’origine de cet incroyable quiproquo, l’ancien employeur du père de famille, qui a alerté les autorités après avoir constaté que son ex-salarié avait lu un grand nombre d’articles relatifs à l’attentat à la bombe de Boston. Outre ces recherches, l’homme a également été "trahi" par des mots clés tapés sur Google depuis son domicile et son lieu de travail, "cocotte-minute" et "sac à dos". Des objets "suspects" qui ont été utilisés par les frères Tsarnaev lors des événements survenus à Boston, en mai dernier. Dans un témoignage posté sur Medium.com, et relayé par le site du gratuit Metro, Michele Catalano -l’épouse du suspect- explique qu’il n’en a pas fallu plus pour que six agents habillés en civil ne débarquent au domicile familial, quelques semaines plus tard. Ces derniers ont mis la maison sens dessus dessous, allant même jusqu’à fouiller dans les moindres recoins du jardin, du garage et de la bibliothèque. Des recherches "par curiosité" Bredouilles, ils ont ensuite interrogé le père de famille, qui a justifié de ses recherches en affirmant qu’il était simplement "curieux" de savoir comment une telle bombe pouvait être fabriquée. Finalement convaincus qu’ils n’avaient pas à faire à un dangereux terroriste, les policiers ont pris le temps d’expliquer à l’homme qu’ils effectuaient de telles visites une centaine de fois par semaine, et que ces dernières se soldaient dans 99 % des cas par une fausse alerte. Sur son compte Twitter, Michele Catalano livre sa morale de l’histoire : "Un conseil : ne faites pas une recherche sur les cocotte-minutes juste après que votre époux ait fait une recherche sur des sacs à dos si vous ne voulez pas vous retrouver avec le FBI à votre porte".
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